Ce jeudi soir, Sébastien Lapaque vient, à mon invitation (au titre du Cercle Georges Bernanos), présenter son livre intitulé « Il faut qu’il parte » et consacré à dénoncer le libéralisme actuel, cette idéologie négatrice de l’idée de civilisation et de la justice sociale. Cette charge violente contre l’esprit de ceux qui nous gouvernent, contre, en somme, ce règne du « pays légal » déjà fustigé en son temps par Maurras ou Bernanos (de façons ô combien différentes), mérite attention.
Ainsi, ce 26 juin, alors que les terrasses seront sûrement envahies par des Versaillais heureux de ces belles et chaudes soirées (enfin !) et des touristes ravis de profiter de la « douceur de vivre » française, c’est au premier étage du café « le Franco-belge » (celui que j’appelle « mon café-bureau »), vers 20 heures, que Sébastien Lapaque prendra la parole : pour ceux qui n’auront pas la possibilité de venir, je prendrai quelques notes qui constitueront un prochain article sur ce blogue.
Au-delà de ce livre, je conseille la lecture des autres ouvrages, romans comme essais, de Sébastien Lapaque, en particulier les deux livres sur Georges Bernanos dont il se veut un fidèle disciple et dont il cultive l’héritage intellectuel et politique.
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