« "L'obsession du court terme". | Accueil | Deux victimes oubliées... »

04 novembre 2005

Commentaires

Flux Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.

Courber la plume de l’oie blanche,
Celle qui commande au cerveau
De s’éclipser ou de parler des signes,
De l’opale, de la neige, des carbures de la nuit
Ou bien des pluies des plaines qui coupent le matin,
C’est pour cela que je t’écoutes
Toi, qui espère le crachin des vents aux jours qui s’organisent,
Comment ne pas s’interroger
Sur le pourquoi de ce zigzag - brusque -
Du vol des moineaux dans le ciel argenté,
Temps d’amour des autres,
Pour que le plaisir d’y aller soit plus touristique,
« J’irai au fond de moi dans la souffrance du désordre »,
Cette saison des trêves qui s’absentent
Et dure dans la consolation des silences et du doute,
Peu d’oiseaux, pas de chat,

La peur de se croire déjà en hiver,
Ou le bonheur encore - souvent -
Fascinant de se rencontrer…


Octobre 2005


Georges A.

Hugo

Haaa, la poesie abstraite. Un subtil mélange d'ennui et d'absinthe. C'est joli.

Vérifiez votre commentaire

Aperçu de votre commentaire

Ceci est un essai. Votre commentaire n'a pas encore été déposé.

En cours...
Votre commentaire n'a pas été déposé. Type d'erreur:
Votre commentaire a été enregistré. Poster un autre commentaire

Le code de confirmation que vous avez saisi ne correspond pas. Merci de recommencer.

Pour poster votre commentaire l'étape finale consiste à saisir exactement les lettres et chiffres que vous voyez sur l'image ci-dessous. Ceci permet de lutter contre les spams automatisés.

Difficile à lire? Voir un autre code.

En cours...

Poster un commentaire

Vos informations

(Le nom et l'adresse email sont obligatoires. L'adresse email ne sera pas affichée avec le commentaire.)