Quelques avantages du mode de transmission héréditaire de la Monarchie : l’indépendance de la magistrature suprême de l’Etat mais aussi l’autonomie du politique à l’égard des féodalités de l’économique. Le roi ne doit rien à personne, n’étant l’élu de personne et n’ayant pas été obligé de se construire une clientèle et de faire appel à des puissances financières pour accéder au pouvoir. Cela lui donne une grande liberté, une indépendance à l’égard des féodalités politiques (en particulier les partis), qui, certes, n’empêche pas leur jeu parlementaire ou démocratique, mais en limite les effets sur l’Etat et sa représentation. Si le roi n’a pas à être omniprésent dans la vie politique du pays, il est le gardien des institutions, l’incarnation de l’Etat et sa représentation diplomatique : son indépendance est une chance pour le pays, même si elle peut parfois être mal comprise et qu’elle ne le garde pas entièrement des pressions de l’Opinion et de ses représentants, ne serait-ce que par la nature même des modes de communication et de discussion politique contemporains. En tout cas, son indépendance statutaire lui permet aussi de porter la parole du politique face à l’économique, en particulier quand ce dernier cherche par tous les moyens à s’affranchir de ses devoirs sociaux : le roi peut jouer un rôle important de médiateur politique entre les principaux acteurs de la scène économique et sociale, et rappeler, à l’instar du comte de Chambord et du pape Jean-Paul II que « l’économique doit être au service des hommes, et non l’inverse ». Mais il est vrai qu’il faudra au souverain de « l’Instauration » faire preuve d’une grande fermeté et volonté, et que la nouvelle Monarchie, dans les premières années de sa mise en place, devra quérir une part de sa légitimité dans la capacité à garantir la justice sociale.
Néanmoins et quoi qu’il soit, la Monarchie offre indéniablement plus de possibilités qu’une présidence piégée par le calendrier électoral et obligée de se méfier du temps quand la Monarchie, par son principe même, n’est pas limitée par des échéances démocratiques.
Cela signifie-t-il que le roi peut faire n’importe quoi ? Bien sûr que non, et l’histoire montre à l’envi que les souverains qui se sont succédés en France, quels que soient leurs qualités ou leurs défauts, ont su généralement rester attentifs à leurs devoirs d’Etat envers le pays comme envers les peuples de France. D’ailleurs, leur intérêt bien compris était de faire en sorte que le royaume se porte plutôt bien, au risque de grever l’avenir et, en particulier, celui de leurs propres héritiers : être roi, c’est aussi exercer un métier, une charge, et non se contenter de paraître ou de parader... Le prestige monarchique n’est pas le « bling-bling » républicain du mari de Carla Bruni !
De plus, en France (mais pas forcément dans les autres pays aujourd’hui monarchiques), la Monarchie se doit d’être « active » et de savoir s’engager sur de grands chantiers à long terme : elle n’est pas un régime d’opérette mais un élément essentiel de la vie politique du pays, non qu’elle prenne toutes les décisions, mais parce qu’elle joue un rôle d’arbitrage sur les grands dossiers après avoir entendu, autant que faire se peut, tous les points de vue et étudié tous les aspects du sujet et les perspectives possibles, aussi différentes soient-elles. La magistrature suprême de l’Etat n’a pas non plus à faire le travail des ministres ou des partis politiques, ni à s’immiscer dans la vie parlementaire qu’elle surplombe par son rôle de garante des institutions, mais elle se doit de rappeler, lorsque la nécessité s’en fait sentir, les grands principes de l’Etat et d’ordonner la diplomatie, dont le roi reste le principal acteur et l’incarnation de la France.
De par son statut, la Monarchie, symbole de l’Etat libre des pressions de tout genre et « trait d’union » entre les provinces, peut engager une plus grande décentralisation sans remettre en cause l’unité nationale, tout comme elle peut accorder une plus grande place aux communautés dans la vie politique en les intégrant au jeu institutionnel sans tomber dans les communautarismes figés et agressifs : c’est, d’une certaine manière, ce que rappelaient les rois de l’Ancien régime lorsqu’ils évoquaient « les peuples de France » sans, pour autant, tolérer les remises en cause de l’unité du royaume. En fait, dans le monde globalisé contemporain qui uniformise les modes de vie et, dans le même temps, maximalise les « petites différences » (stratégie du consumérisme actuel : diviser pour mieux régner…), la Monarchie peut jouer un rôle protecteur des identités locales et nationale par l’incarnation même d’un enracinement et d’une histoire qui ne se résumeraient pas au seul présent… Le roi peut être ce point de repère qui manque tant pour signifier « la France », autant comme Etat que comme nation. D’ailleurs, à ce propos, le roi n’a pas à faire un tri dans l’Histoire de France : il en est l’héritier et le rappel, et il est autant celui des rois que des régimes qui se marquaient par « l’absence de roi » ; il n’a pas de « querelle à venger », il assume toute l’Histoire de France !
La Monarchie n’est pas « le régime parfait » et elle ne revendique pas l’être, consciente qu’elle est avant toute une institution faite par des hommes, pour des hommes, pour tous les êtres de sang et de chair dotés d’une conscience qui se rattachent, d’une façon ou d’une autre, à la France, et non une simple abstraction logique et froide : son caractère profondément, intimement même (ne serait-ce que par son mode de transmission), humain l’entraîne à prendre les personnes telles qu’elles sont et à « faire de la politique », fondée sur les réalités plus que sur les seules idées ou idéologies, ce qui ne l’empêche évidemment pas d’avoir des idées ou de débattre de celles-ci sans préjugés.
Comme le souligne Maurras, la Monarchie ne constitue que « le moindre mal et la possibilité du bien » : elle n’est pas un remède miracle, et les monarchistes ne sont pas non plus les charlatans d’une monarchie dont les rois seraient les gourous… Mais elle est cette nécessité pour faire vivre la France, pour en poursuivre l’œuvre dans un monde qui a besoin d’elle comme le soulignait en son temps Georges Bernanos, pour assurer la défense des « petits » face à « l’économie sauvage », pour donner à notre pays mieux qu’un homme, une famille ! Nécessaire, et au plus vite, faut-il souhaiter, possible…
L'Union européenne a dit que la France a été responsable de dérives graves contre la liberté d'expression lorsque la police française a gazé des enfants dans des poussettes, des femmes, qui défilaient contre le projet de loi du faux mariage des homosexuels.
La garde des sceaux française n'a pas défendu ces victimes innocentes contre la brutalité gratuite d'un police d'opinion lâchée contre les manifestants par le socialisme archaïque au pouvoir en France. Et voilà que la garde des sceaux veut faire croire qu'elle est victime car elle a été représentée déguisée en guenon ! Elle déraisonn et elle dit qu'elle représente la République et la France. Compte tenu de son passé indépendantiste, jamais repentie, de la guyanne française et de ses déclarations heureuses lorsque sa police d 'opinion attaquait des femmes et des enfants, elle n'est pas crédible à se placer comme victime. elle brandit la bannière du racisme pour se faire excuser devant les arabes et les africains qui ne veulent pas de la loi du faux mariage des homosexuels, croyant ainsi se les rallier pour les municipales 2014. Les populations immigrées sont lassées des abus du socialisme français qui crée des lois condamnant l'éducation des enfants des immigrés. De plus, lorsque le journal Charlie Hebdo a caricaturé mahomet, elle n'a rien dit, se croit-elle plus que lui ? Elle utilise la République pour se placer au-dessus de mahomet. Mais qui est la garde des sceaux ? A cause de sa loi du faux mariage des homosexuels, les immigrés tunisiens en France ne peuvent plus donner l'Occident en exemple en Tunisie, au contraire, les islamistes trouvent dans cette loi un motif pour rejeter le modèle occidental. Modèle qui n'est pas français car la france métropolitaine et africaine se sont opposées à cette fausse loi. c'est une loi guyannaise car la garde des sceaux est guyannaise.
Il faut dire que la garde des sceaux croit que l'homme descend du singe (!) alors en voyant une photo avec une tête de singe, elle déduit qu'elle est caricaturée à des origines non évoluées donc peu gratifiantes pour sa dignité. mais il y a des centaines de millions d'africains et de moyens orientaux qui ne croient pas à cette erreur scientifique propagée depuis darwin. Et eux ne se sentent pas atteints dans leur dignité quand ils voient une tête de singe. Elle fait le choix de fausses croyances et elle constate qu'elle est liée avec ces fausses croyances dites scientifiques. Elle est toujours libre de changer de croyance et de parler avec ceux qui ne croient pas que l'homme descend du singe, elle verra qu'ils sont libres car ils ne croient pas à des erreurs. Dit-on qu'astérix renvoie à une image arriérée parce qu'il porte un casque à plume ? La dignité des français est mise à mal mais personne ne s'en offusque. N'est-ce pas l'orgueil qui se plaint chez elle ?
Rédigé par : stop | 05 novembre 2013 à 21:05