Samedi 26 a eu lieu le "café politique" consacré à la "crise des banlieues". Il a été l'occasion d'évoquer la situation actuelle des banlieues "chaudes" et les défis qu'elles posent à notre société et à son modèle social et, au-delà, à notre système d'accueil et d'inclusion (nationale comme sociale) des populations qui y sont installées. Chercher à comprendre la problématique des banlieues, c'est préparer le terrain, sans angélisme ni démagogie, à une véritable politique susceptible de désarmer certains conflits potentiels, ou d'en limiter les effets.
Lors de ce café, quelques propositions ont été évoquées, qui mériteraient un plus long développement et une plus large discussion: ce blog sera l'occasion d'en aborder quelques unes.
J'ai avancé quelques pistes de réflexion dans un article publié par "L'Action française 2000" à la mi-novembre, et qui porte sur l'école comme l'un des vecteurs de "réglement" de la "crise des banlieues". J'en publierai quelques extraits significatifs dans une prochaine note ainsi que les compléments qu'il me semble utile d'ajouter: l'intérêt du café politique est d'avoir aussi permis de nourrir la réflexion, et la mienne en particulier, sur ce sujet. Un grand merci, donc, à ceux qui y ont participé.
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